Page:Schwob - Cœur double, Ollendorff, 1891.djvu/247

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l’escalier ; je pensai : « Il m’a tapé. » Puis, me rendormant, je crus voir filer sur la route blanche, à la lumière de la lune, Podêr et sa petite assis l’un près de l’autre, sur la banquette de leur carriole. Le petit cheval trottinant devant secouait ses deux plumeaux, et l’ombre fugitive de la roulotte courait le long des fossés. Et le trimardeur avec sa copine étaient heureux sous la bâche clapotante.

Je n’ai plus jamais revu depuis Jean-François-Marie Podêr.