Page:Scott - Le Lord des îles, Gosselin, 1824.djvu/265

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

lui demandent-ils. — Mauvaises, répond Bruce. J’ai peut-être tué Comyn. — Peut-être ? reprit Kirkpatrick, ce sera bientôt sûr ; et il courut l’achever.

NOTE 8. — Paragraphe xcv.

Il paroit que le caractère des bardes d’Écosse, si grand dans les temps reculés, dégénéra bientôt. Les Irlandois disent que des lois furent nécessaires pour réprimer l’avarice des leurs. Dans les montagnes l’Écosse, ils tombèrent bientôt dans le mépris ainsi que les orateurs : emploi qu’un même individu exerçoit quelquefois avec celui de poète.

NOTE 9. — Paragraphe XXV.

C’étoit une coutume des montagnes d’amener la fiancée à la demeure de l’époux. Elle y restoit quelquefois en expectative pendant des mois entiers, et le fiancé avoit encore le droit de la répudier. De là grandes querelles, etc., etc.

NOTE 10. — Paragraphe XXVI.

Voyez les chroniques de Stowe sur l’exécution du célèbre Wallace, qui fut livré aux Anglois par trahison.

NOTE 11. — Paragraphe XXVI.

Voici le distique léonien de Mathew de Westminster sur Edward :

Scotos, Edwardus, dùm vixit, suppeditavit,

Tenuit, oleti, depressit, dilaniavit.

NOTE 12. — Paragraphe XXVII.