À l’anglaise.
Non, à la française… Les courses, les paris, les barrières à franchir, tout cela est français maintenant ; et tout ce qui vient de France est ma passion.
Vous me faites trembler, moi qui ai le malheur d’être Allemand…
Pour vous il y a exception ! Les prétendus ont des privilèges ; et puis, une fois mariés, nous irons à Paris, je ne consens qu’à cette condition.
C’est convenu… Une fois mariés ! à vous de commander. .. à moi d’obéir.
Vous le voyez !… déjà à la française… C’est très bien.
Si, avant d’aller à Paris, madame la baronne voulait se mettre à table… mon estomac et celui de ces messieurs lui en sauraient un gré infini. (À Alcée.) Fais donc servir le déjeuner.
Vous, Reynolds, vous avez toujours été gourmand ! … C’est votre passion !
Chacun la sienne.