C’est charmant !
Car si elle se prononce, je sais en faveur de qui…
Ah ! vous savez ?…
Oui, mon jeune ami, quelqu’un qui a sa parole, sa promesse formelle, et elle n’y a jamais manqué.
Vous connaissez cette personne ?
C’est moi.
Que me dites vous là ?
Je dois l’épouser dès qu’elle sera consolée, et déjà cela va mieux ; déjà, grâce au ciel, sa douleur éternelle a des absences : témoin, tout à l’heure à ce piano où elle oubliait de s’affliger ; c’est à vous que je le dois, je le sais ; mais je voudrais vous devoir plus encore, et puisque vous avez daigné me parler d’amitié… je viens vous en demander une preuve.
Monsieur…
Il n’y a que moi, auprès d’elle, qui plaide en ma faveur, et on a toujours l’air gauche quand on parle à un honnête homme, que j’ai quelques bonnes qua-