mal, parce que ça donnera à monseigneur un échantillon de vos talens ; mettez-vous là. Ah ! voici la chocolatière. Messieurs, je vous laisse, chacun, votre affaire.
Scène XI.
et ALPHONSE, auprès de la cheminée.
Ah ! il faut que je fasse un rapport ! (Cherchant à épeler.) Oui, je vois bien… ra…pport. Pour la lecture, ça va encore ; c’est la partie de l’écriture qui est autrement difficultueuse.
Je ne sais pas trop comment m’y prendre ; j’ai bu mille fois ma tasse de chocolat sans songer comment cela se faisait ; je crois qu’on le râpe ; essayons toujours.
C’est dommage que dans l’état de secrétaire on soit obligé d’écrire, car sans ça… (Regardant du côté d’Alphonse.) Eh bien ! qu’est-ce qu’il fait donc ! je crois qu’il râpe son chocolat. (Haut.) Ce n’est pas cela, ce n’est pas cela, c’est l’ancienne manière ; le chocolat à l’italienne, en morceaux.
Je vous remercie.
Ma foi, je sais signer mon nom, et j’assemble mes