Page:Segur - Pauvre Blaise.djvu/206

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Quand il sentit que le comte lui rendait cette pression, il saisit la main du comte et la couvrit de baisers et de larmes. Le comte, ému lui-même, se dégagea après une dernière étreinte, et sortit sans ajouter une parole, mais en saluant d’un air amical. Quand il fut parti, Anfry s’écria :

« Eh bien, il a du bon, tout de même ! C’est