Page:Segur - Pauvre Blaise.djvu/264

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bon Dieu ! Hélas ! peut-être ne vous embrasserai-je plus jamais, jamais, ni M. Jules non plus.

— Tu m’embrasseras du moins ce soir, et tant que tu voudras, mon enfant », dit le comte en le serrant contre son cœur.

Blaise usa largement de la permission ; mais la soirée était avancée ; il était temps de se séparer.