Page:Selden – Les Derniers Jours de Henri Heine, 1884.djvu/13

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trahissait point la présence de la femme. Elle se retrouvait dans l’autre chambre, parmi les fausses guipures posées sur des transparents de cotonnade jaune, parmi les encognures revêtues de velours brun, et surtout dans le jour favorable d’où se détachait un portrait, le portrait de madame Heine, peinte en pied, vêtue et coiffée à la mode de son jeune temps, robe noire décolletée et longs bandeaux collants comme on dut les porter vers 1840.