Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/155

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rlctrn ui, soient : 111. — -153

raison particulière de soupçonner que sir John etaitici. J e ne l’ai jamais vu si brutal dans sa jalousie. Misruiss piton.-Je trouverai moyen déle savoir ; mais il faut nous divertir encore aux dépens de Falstaff. Sa fiévre de libertinage ne cédera pas à. cette seule médecine. ' Ô ' * *

1 Misrniss Fonn.-Nous lui enverrons cette sotte carogne de mistriss Quickly, pour nous excuser de ce qu’on l’aura jeté it l’eau, et lui donner une nouvelle espérance qui lui attirera une nouvelle correction. F insriuss PAG.-G’est bien pensé. Donnons-lui rendez vous demain à huit heures pour venir recevoir un dédommagement., (Rentrent Ford, Page, Caius et sir Hugh Evans.') * rom). — Il est introuvable.—Peut-être le fat s’estÎil vante de choses qui passaient son pouvoir. Misrniss PAGE.—lf1111B11flGZ-VOLIS ? ' Misrniss FORD.-Olll, oui, paix. Vous en usez bien avec moi, monsieur Ford, n’est-11 pas vrai ? ' Form.-Oui, oui, madame. r.

Misrmss Form.-Que le ciel rende vos actions meilleures que vos épaisses ! ', * .

Form.-Amen.,

Misfrniss mois.—Monsieur Ford, vous vous faites un grand tort..

Fono.-Bien, bien, c’est a moi a supporter cela. Ell’ANS.¢-Sill y a quelqu’un dans la maison, dans les chambres, dans les coffres et dans les armoires, que le ciel., me pardonne mes péchés au jour du grand jugernentf Caius.-Palsambleu ! je dis de même, il n’y a pas une ame ici.

PAeiz.¢åEh| ! fi ! monsieur Ford, n’avez-vous pas de honte ! Quel iesprithquel démon vous a suggéré ces idées ? J e ne voudrais pas avoir une pareille maladie pour tous les trésors' du château de-Windson Four).-G’est ma faute, monsieur Page ; j’en subis la pêlllêz `

Evans. *Vous soiiilrez d’uné mauvaise conscience.