Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/156

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154 LES Bounenoisns un wmnson.

Votre. femme est une aussi honnête femme qu’on la puisse choisir entre cinq mille, et je dis encore entre çinq cents..

cAms.—Palsagnbleut je vois bien que c’est une honpète femme. ' '- '

Fonn.-À la bonne heure. Messieurshie vous ai promis

51 cljner. Venez, en attendant, vous promener dans le pare ; je vous en prie, pardonne ;-n1oi. Je vous conterai pourguoi 1'ai fait long, cela.-Allons, ma femme, allons, mistriss Page, pardonnezÿmoi, je vous en prie. Je vous en prie du fend du cœur, pardonnez-uioi. pAGI:.¢A110ns, messieurs, entrons. Mais, par ma foi, nous le ferons enrager ; et moi, je vous invite si venir clejeuneiï demain : patin chez moi, et après cela zi lachasse et l’oiseau.›.Fai un faucon aclmiralùlo pour le hoîs. Est-ce chose dite ? "

none.—Tout a fait.

EVANS.7S, Î1 y en a un, je serai le second de la compagnie. ' l ' ' l

eaius.-S’i1 y en a un ou deux, je serai le troisième '. Fono.fMonsieu1* Page, venez, je vous en prie,

(Ils sortent. Evans ef Caius demeurent seuls.)

Evans.-Et vous, je vous prie, souvenez-vous demain de ce pouilleux de coquin c1”hete. cmos.-G’est bon, oui de tout mon cœur. Evans.-Ce pouilleux de coquin avec ses tours et ses moqueries.

(Ils sortent.)

SCÈNE IV

Une pièce dans la maison de l’âge. Enåvent 1jENToN ET Mxsmnrss ANNE PAGE. 11~nNToN.-J e vois que je ne puis pas gagner Pamimiÿa de ton père. Gesse donc de me renvoyer à lui, chère.. Anne.-Tllelas ! comment donc faiye ? 1 Turd (excrément) pour third (troisième).