Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/21

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fnciii l ;îö'rfsIëigrieüi*`. (Tétait de Votré Seigneurie que nous nous entfeftefijoiis à Piiištant niémè. ÃNïöfiid ;=Sliy1oc1{, iifuoicjüe jejie prête ni 11'emp1*uIito à intérêt ; cepeiiîlarit 1`Λ`our’foùrnir` aux besoins pressants dïiiji aîïii, jeidéîogêrai côutume : (À Bassfmio.) Est-il iiîstiuît de la, sóîiimë que flous désirez ? 7 šriîznoöx.-=0îii, 'öui ;` trois fiiille dùêáts. À:N*iÎoN1ó.-Et’poiir trois mois.. › I

SI-ÎYLOCÎK.-JYÊÎÎEÎÎÊ oublie ; Pour trois mois ; vous ine l’avieï dit. A lä boiîiiië Heure. Faites votre billet, et puis jé` Îfcÿiiraim. Mais écoùtei, il me semble que vous venez de“ diiiê ¿ ;[iîé"i’o1is île prêtez niñfe1î1pruntez’a intérêt “ AN’roN1o.-Jamais.-SÎÊÎTLOCÈ.*Q1Ll3»Î1Q

Jacob faisait paître les brebis de son

oncle Laban.., . Ce Jacob (au moyen de ce que fit en sa fäšfèîif šaqîfudefitë iïjère) fut le troisième possesseur des liièñš dé iiotre saint Alifaliarñz. : Oui, ce fut le troisième. &flîo1ïiio.*A qfiuel pröpds rèiriéntál ici ? Prêtait-il à. intérêt ? 4,

§ οÎYIÎ0CÊ.-5 ;-NO11 ; il ñé Îirêtait pas à intérêt, non, si iiöîišï ifö1îlei, pas> } ; irëcisënüéiît à intérêt. Remarquez bien dé' que Jacob faisait. Labarî et lui étant convenus que töîiš lélš nouveaiî-nés ? qui seraient rayés de deux couleurs äfîÿaftiéfidraieñt à J aëob p<Îùr son’sa1aire ; sur la fin de Yautorfnié, les brebis étant e1 :î chaleur allaient chercher lêš liéliérs, et quand ces couples portant toison en étaient arrivés au moment de consommer lœuvre de la général tÎoi1, "1è’fusé berger vous levait 1`écorce c1écertains bâtóîiis, et dans l’instant précis de l’acte de nature, les pfeseiitait aux brebis echaiiffees, qui, concevant alors, qiuaiid le temps de*1”enfãntement était venu, mettaient bas des’àgrîeaui : bariolés, lesquels étaient pour Jacob. (fêtait là, un moyen de gagner ; et Jacob futbeiii du ciel ; et le gain est une bénédiction, pourvu qu’on ne le vole pas. N A *,

ANTONÎÔ`. *J3ÎCÎOb, monsieur, donnait là. ses services pour un salaire très-incertain, pour une chose qu’il iïétait pas en son pouvoir de faire arriver, mais que la seule main du ciel règle et façonne à son gré. Ceci a-t-il 1 OJ