Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/248

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244 LE ROI Jean. les égards qui vous sont dus.-Marclzions vers Calais ; allons. — (Ils sortent.) . SCÈNE iv ° p , i Toujours èn France ! — ila tenté du roi de France.. Evttrëht I ;E*:EOI PHILIPPE, LOUIS, PANDOLPHE, suite. ¢1 PI-IILIPPEL-ÀÎHSΠ; sur les flots ; une brillante tempête disperse une Armada entière de vaisseaux rassemblés ; et lès sépare les uns des autres. PANÖOLPHE.-GOBSOÎBZ-VOLÎS, reprenez courage, et tout ira bien encore. 1›1nLn›1›n.*—Et qui peut aller bien quand tout nous a tourne si mal ? Ne sommes-nous pas battus ? Angers lfestq il pas perdu, Arthur prisonnier ? Plusieurs amis très-chers 1i’ont-ils pas été tues ? et en dpit de la France ; 1'Anglais tout sanglant n’est-il pas retotiriie en Angleterre, surmontant tous les obstacles ? '-LOUIS:-GB qu’il a conquis ; il l’a fortifié. Il n’y a pas cl’exempléd’une si ardente promptitude dirigée avec tant de sagesse, d’une conduite si prudente dans une guerre si impétueuse. Qui à Jamais lu ou entendu le récit d’un exploit semblable ? rninirrn.-Je supporterais que l’Ang1ais eût obtenu cette gloire, si nous pouvions trouver quelque exemple de notre honte. (Entre Constance.) Regardez ; qui vient ici ? un tombeau renfermant une âme, retenant contre son gré i’imri1or*te1 esprit dans Podieusé prison d’une vie douloureuse.~ ;J e vous en prie, madame, venei avec moi. couvrants.-Voyez, maintenant, voyez le résultat de votre paix. PHILIP-Ps.-Patience, ma bonne dame : Courage, noble Constance.constitues.-Non ; je défie tout conseil, toute répara` I - , 1