Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/337

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Aoris ii, ru. 1

loughbÿ 3 leïiïs Êpèróns sont tout sãnšlàîits ; Ê lëiir visage est enflammé de la course. B 0LINGB}5§ OKÈ.-1-SOYEZ lest bien vénus, nailords : je sens bien que votre amitié s’attà°che aux pas d*un traîtreÿ banni. Toute ma. richesse se boine encore à des retirer ciments sans effets, qui, devenus plus riches ; saïiiiont récompenser votre amour et vos îzravauår. Ø Ross.-Très-noble seigneur, votre présence fioîfiš fait riches' ft

Winroúçnsr.-Et elle surpasse de beaucoup la ïfatigue

que noiš avons subie pour en jouir. f BoLINh1äÈ›.óišE: — Recevez encore des reine“rQîñieñtš', ' seul trésor du pauvre, le seul d’oï1 je puisse tirer meš bienfaits, j-usqu'ât ce que Ina fortune, au berceau, ait acquis des années.—Mais qui vient à. nous ?(Îî]ntre B erk1ey.) NOR:1"HU1\[BEHLAND.—-5G, €SÊ, si je ge liië Îrbinpê, lord Berkley.

nnnkcnv. -Milord ç1'Hereford, c’est 'à vous Ejïie 'šJ’adresse mon message.

BQ LINGBRO12E.:—1\ÎÎi0I’d, je ne réponds “qu*au hein de Lancastre, et je suis venu chercher ce nom en Angieï terre : il faut que je trouve ce titré dans vbtre bouche avant que je réponde in rien de ce que vous pöurreî rhë dire..,

nnnnnnvù-Ne vous méprenez pas sur înes paroles, milordq : ce n’est pas mon intention d’effacer auciinïtle vos titres d’honneur.-Je viens vers vous, milord.... (ce que ÿous voudrez), de la part du’très-glorieux régent' de ceiroyâtume, le due c1'York, pour savoir ce qui vous excite à profiter de l’absence du roi pour troubler la paix de notre pays avec des armes forgees dans son sein. M * (Entre York avec ; sa spire.) . nonmcnnonn, 'à Barkley.-Je n’aurai pas besoin de transmettre par vous ma réponse : voilà Sa Seigneurie en’personne. (Il /láchit le genou.)-Mon noble oncle ! Yonx.-Que je voie s’abaisser devant iiioi ton cœur et non tes genoux, dont le respect est faux et trompeur. Boumesnoxn.-Mon gracieux oncle I.... \

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