Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/380

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

378 l{lC*llAl{D 11.

mêmes, dit-on, qui se tiennent dans des ruelles étroites, on ils battent notre garde et volent les passants ! Etlui, jeune étourdi, jeune eiféniiné, il se fait un point d’ho11heur de soutenir cette lîišinde dissoliiéî. rnner.-Seigneur, il n“y a guère que deux jours que j’ai vu le prince, et je lui ai parle des tournois qui se tiennent et Oxford.

normnnnoxei-Et qu’a répondu ce galant 'r, peser.-Sa réponse fut cju’il irait dans un mauvais lieu 1, qu” il arracherait zi la plus vile des créatures qui s’y trouveraient un de ses grtnts, qu’il le porterait comme une faveur, et qiüavec ce gage il clés arçonnerait le plus robuste agresseur.

BOLlNGBlîol{E.*A1lSSl clissolu que téméråtîie : et cependant, au traüers de tout cela, j’entrevois quelques étincelles d’espérance qu’u11 tige plus mur pourra, peut-être developiier lieüreiislernent.==-Mais qui vient ät nous ? , (Entré Aumerle.)rUi1nnLs.-où est le roi ? iiotineimoim.-Qiie veut dire notre cousin avec cet air de trouble ët dÎefi’roi ?

Auitisnin.-~Que Dieu garde Votre Grâce ! Je conjure Votre tiajesté de n’accorder iinnionieiit if l’entretien, seul avec Votre Grâce. *

  • 1soL1i§ rç.nuoKn, @ux tords -l ?tet’irez-vous, et laissez-nous

seuls iei. (Péfáy et les tords sa retirant.)-Que nous veut maintenant notre cousin ?

Auirsunu, s’agenoui£¿a1tt. -:Qué mes genoux restent pour toujours attachés et la terre, et ma longue fixée dans ma bouche á mon palais, si \ioiis ne fiie pzirtlôiirièi zivant que je me releve 011 que je parle, I ` izöîiisdiiiioiãia.-*Là faute ifest-elle qîie clãiis Pintérition, ou déjà commise ? Dans le premier cas, quelque oclieuse qrÿelle puisse être, pour gagner ton aniitie à l’avenir, je te pàrdoiiije.

' Auiμannn.+Permette ;-moi donc de tourner la clef, : ifin que personne n’entre jiisqu’à ce que je vous aie tout Hit. 1..... Unta the stcws.