Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/382

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leurs pères. Pour que inon honneur vive, il faut que son déshonneur périsse ; ou bien son c les honneur va couvrir ma vie d’infante. Tu me tues en lui permettant de vivre : si tu lui laisses le jour, le traître vit et tu mets zi mort le sujet fidèle.

LA nucnnssn n’ronK, en dehors. — De grâce, mon souverziin, 'pour l’amour de Dieu, laisse-moi entrer. noL1NoBr.o1<e.-Quelle suppliante zi. la voix grêle pousse ces cris empressés ?

LA nucnnssn n’ronK.-Une femme, ta tante, grand roi. G’est moi, écoute-moi, aie pine de moi ; ouvre la porte : C, E3SÎ.} une menclinnto qui menclie sans avoir Jamais mentlie 1, moi qui ne demandai jamais.

Boniixexinoue.-Voilà notre scène changea : nous passons d’une chose sérieuse it la marzdumte avec le roi.-Mon dangereux cousin, fuites entrer votre nière : je vois bien qu’elle vient intercéder pour votre oclioux forfait. roux.-Si tu lui pardonnes, qui que ce soit qui te prie, ce pardon pourra faire germer c1'autxes crimes. Itetranche ce membre corrompu, et tous les autres restent sains. Si tu l’epa, r1g11es, 1l’corrompra tout le reste. (Entre la duchesse d’York)

LA nncmassn n’roni<.-0 roi ! ne crois pas cet homme au cœur dur : celui qui ne s’aime pas lui-même ne peut aimer personne.

vomi. -Femme extrava-gente, que fais-tu ici ? Ton sein flétri veut-il une seconde fois nourrir un traître ? LA nucmassn o’YonK.-Cher York, calniez-vous.-Mon gracieux souverain, écoutez-moi.

' (Elle se met ix genoux) '

izonmonnouu.-Levez-vous, ma bonne tante. LA ouemassrl D’YORK."-NOE, pas encore, je tlen conjure : I - A beggar' bags, that navet begy’d before. (Test sur ce mot beggaf que porte la plaisanterie de Bolingbrokc

Our scène is altea* vl from ou serioustlting,

And nou, cha*ng’d to the Beggar ana the king The lieggar étant, comme on l’a déjà fait voir dans les notes de Roméo et Juliette, une ballade alors très-connue.