Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/489

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qué ilhãiiãnéur un mnt. Et qu’est¿ee que ce inet ; lllionl neur ? ce qu’est lhonneur : du vent. Un joli appoint vraiment ! et à qui profite-t-il’ ?'Celui qui mourut merJ crecli, le sent-il ? non. L’entend-il ? non. L'11rj1ineur est donc iine chose insensible ? oui, pour les morts. Mais ne saurait-il vivre avec les Vivants ? non : Pourquoi ? C’est gue la rnèdisance ne le souffrira jamais. A cè compte, je ne veux point d’honneur, Pliónneur est un pur ecusson funèbre : et ainsi finit inon catéchisme : Q (Il son-tri

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Le camp de Hotspur.

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Entrent WORCESTER, VERNON.

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wvoacnsrsn.-Oh ! non : il ne faut pas, sir- Richard ; que mon neveii sache les généreuses oiïréš du roi. vnnuöfifi-=ll.vaudrait mieux qu’il en fût instruit. Wolxcicsfrsn.-S’il les connaît, nous sommes tous perdus. 11n’ésIt pas possible, non, il' ne se peut pas que le roi tienne sa parole de nous aimer. Nous lui serons toujours susfieetsg et il trouvera dans fl’aùtres fautes Toscasion de nous punir de cette révolte. Le soupçon tiendra cent yeux ouverts sur nous ; car on se ñéià la trahiî son comme au renard qui a beau êlre aj ;›privoise, caresse, bien enferme, et qui conserve toujours les penï chants sauvages de sa race. Quel que soit notre maintien, triste ou joyeux ; on prendra note de nos regards pour les interpréter a rnal ; et nous vivrons cornnie le bœuf dans Potable, d’autant plus près de notre mort que nous serons iniëux traités. Pour 1IlO11 l18VG1l ; on pourra peut-être oulîliër sa faute. Il a pour lui Pexcuse de la jeunesse, de 1”ardeur du sang ; et le privilège du nonî qu’il a adopte, cet eperon brulant* conduit par une cervelle 1

À Κaîé Èraiaièci TÎo’tšj ; wl¢-f, govèmlfd by a, spleen.