Page:Shakespeare - Œuvres complètes, traduction Guizot, Didier, 1862, tome 6.djvu/494

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1992. * l1l’IN*l{l iv.

qulon ajoute un poids zi celui de mes boyaux. J’ai conduit mes pauvres diables en lieu ou ils ont été poivrés ; cles trois cent cinquante, je 11`en ai plus que trois en vie, et bons pour le reste de leurs jours a demander Faumône zi la porte d’une ville.-Mais qui vient et moi ?

(Entre le prince Henri.)

Humu.-Quoi ! tu restes la rt rien faire ici ? Prête-moi ton épée. Plusieurs nobles sunt la étendus roides et immobiles sous les pieds des chevaux de notre insolent ennemi, et leur mo1t’n’est pas encore vengée. Jé t’en prie, prete-moi ton épée.

ransmrr.-0 Hal ! je t“en prie, donne-mon le temps’de respirer*.-~Gre,2o1i*e le Turc* n’a jamais accompli des laits d’armes pareils et ceux que j’ai exécutés aujourd’hui. Fai donné à Percy son compte. Il est en sureté. Henin.-Très en surete, effectivement, et tout vivant pour te tuer. Je te prie, prete-moi ton épée. V mesure.-Non, de par Dieu, Hal, si Percy est en vie, tu n’auras pas mon épée : mais prends mon pistolet si tu veux.

iienm.-Donne-le-moi ; quoi, est-il dans son étui ?- ' FALSTAFF.-Olli, Hal, il brûle, il brúlc : voilà de quoi mettre une ville en feu “

HENRI, tiremtmw bouteille de *vin d’Es7Jagne.-Comment, est-ce lale temps de samuser al plaisanter ? (ll lui Jette la bouteille ix la tète et sort.) FALSTAFF.-Si Percy est en vie, je le transperce.—S’il se trouve dans mon chemin, s*entend : car autrement si je vas me placer de bon gré sur le sien, je veux bien qu’il me mette en carbonnade. Je n’aimc point du tout cet honneur grimaçant que s’est acquis la sir Walter. Donnez-moi une vie : si je puis la conserver, je n’y manquerai pas ; sinon, l’honneur vient sans qu’on y pense, et tout finit la.

Grégoire VII.

2 Théfeïs tliat will sack a city.

On n’a pu conserver lejeu de mots.

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