Pourquoi suis-je un niais ?
Fais cette demande-là à qui t’a fait. Pour moi, il me suffit que tu le sois. Voyez, qui vient ici ?
Patrocle, je ne veux parler à personne. Entre avec moi, Thersite.
Quelle bouffonnerie ! quelle jonglerie ! quelle coquinerie ! La cause de tout ce bruit, c’est un cocu et une putain. Belle querelle à susciter des factions jalouses et à faire saigner les gens à mort ! Ah ! que la serpigine emporte le sujet de tout ceci ! et que la guerre et la luxure les confondent tous !
Où est Achille ?
— Dans sa tente ; mais il est il est mal disposé, Monseigneur.
— Faites-lui savoir que nous sommes ici. — Il a chassé nos messagers, et nous mettons de côté — les droits de notre dignité pour venir le voir. — Dites-le lui, de peur qu’il ne s’imagine — que nous n’osons pas maintenir les priviléges de notre rang — ou que nous ne savons pas qui nous sommes.
Je vais le lui dire.