Un vœu n’est qu’un souffle, le souffle n’est qu’une vapeur :
Aussi, beau soleil qui brilles sur ma terre,
Aspires-tu mon vœu à toi ; en toi il s’est absorbé ;
S’il est rompu, ce n’est pas ma faute.
Et, quand ce serait ma faute, quel fou n’est pas assez sage
Pour sacrifier un serment afin de gagner un paradis ?
— Voilà bien cette affection bilieuse qui fait de la chair une divinité, — une déesse d’une jeune oie ! Pure, pure idolâtrie ! — Dieu nous amende ! Dieu nous amende ! Nous sommes bien loin du droit chemin.
— Par qui enverrai-je ceci ?… Quelqu’un ! Rangeons-nous.
— Cache-cache général ! Nous jouons au vieux jeu des enfants ! — Comme un demi-dieu, je suis niché dans les nues — et je contemple de haut les secrets de ces misérables fous. — Encore un sac au moulin ! Ô ciel ! mon désir est exaucé ! — Du Maine aussi est métamorphosé ?… Quatre bécasses dans un plat !
— Ô divine Cateau !
Ô profane faquin !
— Par le ciel ! la merveille des yeux mortels !
— Tu mens. Par la terre ! elle a un corps bien matériel !