Je suis fort aise d’être venu ici vous trouver. S’il vient demain, je lui donnerai son compte. Si Jamais après cela il peut marcher seul, je renonce à jamais lutter pour le prix. Et sur ce, Dieu garde Votre Honneur !
Au revoir, bon Charles.
À présent je vais stimuler le gaillard, j’espère que je verrai sa fin : car mon âme, je ne sais pourquoi, ne hait rien plus que lui. Pourtant, il est doux, savant sans avoir été instruit, plein de nobles idées, aimé comme par enchantement de toutes les classes et, en vérité, si bien dans le cœur de tout le monde et spécialement de mes propres gens qui le connaissent le mieux, que j’en suis tout à fait déprécié. Mais cela ne durera pas. Cet athlète arrangera tout. Il ne me reste plus qu’à enflammer le jeune gars pour la lutte, et j’y vais de ce pas.