cune une hanche ! Je garde mes côtes pour moi, mes épaules pour le garde du bois, et je lègue mes cornes à vos maris. Ne suis-je pas un veneur accompli ? hein ! est-ce que je ne parle pas comme Herne le chasseur ?… Allons, Cupido est cette fois un garçon de conscience : il me dédommage. Foi de franc esprit, vous êtes les bienvenues.
Miséricorde ! quel est ce bruit ?
Le ciel nous pardonne nos péchés !
Qu’est-ce que ça peut être ?
Fuyons, fuyons !
Je crois que le diable ne veut pas que je sois damné, de peur que l’huile qui est en moi ne mette le feu à l’enfer ; autrement il ne me contrarierait pas ainsi.
— Fées noires, grises, vertes et blanches, — vous, joueuses du clair de lune, ombres de la nuit, — vous, créatures orphelines de l’immuable destinée, — faites votre office et votre devoir… — Crieur Hobgoblin, faites l’appel des fées.
— Elfes, écoutez vos noms ; silence, espiègles aériens ! — Grillon, tu sauteras aux cheminées de Windsor ; — et là