Page:Shelley - Frankenstein, ou le Prométhée moderne, trad. Saladin, tome 2.djvu/130

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l’empêcher de succomber. Le hasard voulut que l’Arabe, qui resta seule, sans connaître la langue du pays et les usages du monde, tombât en bonnes mains. La maîtresse de la maison où elle avait fait séjour, avait su par l’Italienne le nom de l’endroit vers lequel elle se dirigeait, et, après la mort de cette pauvre fille, elle prit les mesures les plus convenables, pour que Safie arrivât sans danger à la chaumière de son amant ».