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Page:Sicard - La Mort des Yeux, 1907.djvu/43

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Nuit…



Ces bandages m’étouffent et je sens mes yeux qui crient sous eux… J’ai des lancées aux tempes ; le sublimé qui agit semble creuser en moi de petits sillons douloureux.

Je tourne, je retourne dans ce lit dont les couvertures s’échappent et les oreillers s’écroulent. J’ai froid et