Page:Sicard - Le Laurier Noir, 1917.djvu/131

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Niobé ! Niobé ! devant ta grange ouverte
          Que fais-tu ? Le soleil est haut
Dans le ciel. Sur le puits pèse une cruche verte
          Qui ruisselle de gouttes d’eau.

Un voyageur est-il annoncé sur la route ?
          Niobé, qui vient se louer ?
Les hommes sont partis et les femmes sont toutes,
          De leurs beaux cheveux dénoués,