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Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/271

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L’Étoile d’Espoir, la troisième,
M’a dit : Vers tes pas incertains
Je veux la guider elle-même.
— Pour rallumer mes yeux éteints
J’ai dit : Il faut celle que j’aime !

Plus de clarté gît en sa main
Qu’il n’en faudrait pour peupler l’ombre.
Tout luit en son front surhumain,
Et Dieu fit, des astres sans nombre,
La poussière de son chemin !