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Page:Sorel - L’Histoire comique de Francion, 1925.djvu/380

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matin le voir avec un valet de chambre de Raymond, qui lui dit qu’il lui venait aider à se vêtir. Francion répondit qu’il n’en devait point prendre la peine et qu’il n’avait qu’à faire venir son homme. Mais l’on lui répliqua que Raymond ne voulait pas qu’il parlât à lui.

FIN DU SIXIÈME LIVRE