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Page:Souza - Oeuvres completes T1et2.djvu/355

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étouffés, ses mots interrompus ; mais quand il a voulu me faire juger de l’étendue de la perte que nous avions faite, sa voix s’est élevée sans qu’il s’en aperçût. Ses yeux s’animaient à mesure qu’il faisait l’éloge de ma mère. Espérait-il parvenir encore jusqu’à celle qu’il avait perdue ? Ô ma mère, puissiez-vous avoir entendu ces dernières expressions de son amour !