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Page:Souza - Oeuvres completes T1et2.djvu/401

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n’arrivez jamais ni comme on le craint, ni comme on le désire, au moins ne me laissez pas sans espérance !

En m’en allant, j’ai salué à mon tour le dernier arbre qui m’avait caché Marie ; et, comme s’il eût pu m’entendre, je disais : Demain je reviendrai la chercher ici ; peut-être demain te regarderai-je bien longtemps avant de la voir paraître ! Jamais je ne passerai près de cet arbre sans éprouver un souvenir de regret et d’amour.