Page:Sphinxiana, chez Blocquel et Castiaux.djvu/105

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Ce que l’on cite pour blancheur ;
Puis une note de musique.
Je ne veux plus me déguiser, lecteur,
Car à tes yeux, rien n’est énigmatique.


(200) ÉNIGME.

Un pied de ma longueur
Est juste la mesure ;
Il l’est de ma largeur,
Et pourtant du carré je n’ai point la
figure.


(201) LOGOGRIPHE.

Je prends naissance dans les bois ;
À répandre le sang, je m’y tiens toujours
prête ;
Mais je deviens un petit poids,
Si, l’ayant outragé, tu me tranches la
tête.


(202) CHARADE.

Mon premier est contraire ;
Mon second dit le bréviaire,
Et mon tout est un métal nécessaire