à la Comédie humaine, parmi lesquelles un conte philosophique, le Chef-d’œuvre inconnu, semblerait surtout devoir aussi lui être en grande partie attribué.
En effet, le cadre et les détails de cette œuvre font souvent songer aux sources habituelles d’inspiration du grand Théo. Mais une raison sans réplique rend cette supposition inadmissible : le Chef-d’œuvre inconnu parut pour la première fois en 1831, dans l’Artiste, tandis que Balzac ne fit la connaissance de l’auteur d’Albertus qu’en décembre 1835. C’est Théophile Gautier lui-même qui précise cette date dans la notice dont nous avons parlé.
Et cependant, plus on relit certaines pages du Chef-d’œuvre inconnu, plus on se sent hanté par le souvenir des procédés et des théories artistiques de l’auteur de Fortunio. Il y avait donc là un problème dont nous désespérions de trouver la solution, quand le hasard fit tout à coup, si nous ne nous