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i36 LES LUNDIS D’UN CHERCHEUR. sous les doigts de l’architecte ; elle parait, si l’on peut le dire, pétrie selon les caprices de son imagination. On conçoit à peine comment les plans en furent tracés, et dans quels termes les ordres furent expliqués aux ouvriers ; cela semble une pensée fugitive, une rêverie brillante, qui aurait pris tout à coup un corps durable, un songe réalisé. » La suite de la FRANCE LITTÉRAIRE de Qué- rard fait erreur en citant comme l’auteur de Paris comme Napoléon le voulait, dans le LIVRE DES CENT ET UN, Alfred de Vigny, qui n’a pas écrit une ligne dans ce recueil, où ne se trouve, du reste, aucun article portant le titre cité par le continuateur de Quérard. Londerzeel, août 1865. POST-SCRIPTUM. Depuis l’apparition de ces lignes, écrites il y a près de trente ans, Alfred de Vigny a retrouvé tout son prestige et toute sa renom- mée. Les jeunes hommes d’aujourd’hui l’ont adopté, attirés par sa désespérance et par son