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Page:Stenay - Portraiture d’une famille prussienne, 1888.djvu/42

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preuves en main, les falsifications ; car Pascal détourne les phrases de leur sens véritable, les coupe au milieu pour éviter la restriction de la fin, ou rapproche deux passages éloignés de manière à leur donner une signification différente, etc.

M. Touchatout s’est donc étudié à dénaturer mon langage et à travestir ma pensée, heureux qu’il est 1° de lancer contre moi son venin de vieille rancune, parce que je l’ai fustigé antérieurement comme il le méritait[1], sans préjudice de ce que je lui dois encore[2] ; 2° et de donner le change à ses lecteurs sur ce que j’ai réellement écrit. Affaire de bonne foi, de droiture, de sincérité naündorffiennes, mais non sacerdotales !!!


IV

Note précieuse d’un menteur

M. l’abbé Touchatout prétend que je « gourmande la Légitimité, parce qu’elle croit à l’identité de Richemont avec Perrein[3], » contrairement à la croyance de son maître Gruau, dit comte de la

  1. Voir la Mauvaise foi de la Légitimité naündorffienne dévoilée.
  2. À lui et à certains de ses amis, comme on le verra dans les Falsificateurs de la vérité historique contre Louis XVII, quand l’heure sera venue de publier cette étude.
  3. C’est Perrin qu’il faut écrire.