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Page:Stenay - Portraiture d’une famille prussienne, 1888.djvu/47

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contrôler l’existence et la teneur de cette note. Des amis, s’ils le jugent à propos, le feront pour moi à Lyon. Je me contente de les supposer vraies. Pourquoi M. Touchatout ne donne-t-il pas la source de sa trouvaille ? car, enfin, rien ne prouve qu’il a lu le Courrier de Lyon du 11 novembre 1850. Il aura probablement copié Gruau, dont certains de ses livres sont remplis d’erreurs ou de mensonges à l’endroit du baron de Richemont.


V

Artifices grossiers

Bien que j’aie prouvé dans la Victime royale, contrairement aux affirmations de la Légitimité de Toulouse, que Stanislas Clerc n’était pas le cousin de Perrin, le pauvre abbé Touchatout, en rusé Naündorffiste, revient à la charge – sans souffler mot de mes preuves, bien entendu, – pour rééditer un mensonge, en répétant que « Clerc avait dit reconnaître en Richemont son cousin Perrein. » Eh bien, là encore la correspondance de mon vénérable ami, M. Jules Valond, me fournit un nouveau témoignage contre la jonglerie de l’écrivassier Naündorffiste.

Le voici : « Pendant les vacances d’une année, dit-il, j’ai passé une saison de chasse à Loyes, chez mon ami Berthet, licencié en droit, dont je vous ai