Page:Stendhal - La chartreuse de Parme (Tome 2), 1883.djvu/301

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XXIV

La duchesse organisa des soirées charmantes au palais, qui n’avait jamais vu tant de gaieté ; jamais elle ne fut plus aimable que cet hiver, et pourtant elle vécut au milieu des plus grands dangers ; mais aussi, pendant cette saison critique, il ne lui arriva pas deux fois de songer avec un certain degré de malheur à l’étrange changement de Fabrice. Le jeune prince venait de fort bonne heure aux soirées aimables de sa mère, qui lui disait toujours :