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faux. Il a été payé par les entrepreneurs de Perrino.
Il a acheté, depuis qu’il est sous-préfet, une cassine de 60.000 livres aux environs de Suze. Il est lié d’amitié avec tout ce qui est déshonoré à Turin.
Il a cherché par tous les moyens à être nommé législateur ; il ne l’a pas été et a dit après qu’il ne s’en souciait pas. Après avoir manqué cette place, il n’a cessé de tonner contre le gouvernement, se faisant ami de la liberté, disant toujours : « Vous autres Français », quand il avait quelque chose de déshonorant à appliquer à la patrie, sans songer qu’il gardait sa place sous ce même gouvernement, et dans sa patrie étrangère à la France.
Ce bougre-là ne met jamais le nez sur un sentiment ; il combine tout, ce qui nous