Page:Stendhal - Promenades dans Rome, II, Lévy, 1853.djvu/383

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Cinq papes à la fois 
 254
Hildebrand 
 255
Concert parfait 
 256
Romance française de Cimarosa 
 256
L’amour peu à la mode en France dans les liantes classes 
 257
Histoire et procès de H. Laffargue 
 259
Fatigue de la vie de bon ton 
 271
Les étrangers envient le bonheur de la France 
 272
Haine sincère pour le’ climat et le soleil d’Italie 
 273
Canova corrige à Villers le groupe de l’Amour et Psyché 
 275
Le sculpteur et les gestes 
 276
Première vue de Saint-Pierre 
 277
Le Colysée au clair de lune 
 277
Le Barbare mourant dans le Cirque, vers de lord Byron 
 277
Le beau idéal sujet difficile 
 279
Seize ville des environs de Rome 
 280
Avantages incompatibles avec le sentiment des arts 
 281
École française des beaux-arts à Rome 
 282
Peut être utile 
 283
Jury des arts et jugement subit 
 283
Siège soutenu par un couvent clé Pise 
 284
M. Niccolini et sa tragédie de Foscarini 
 286
L’écusson des papes 
 286
Faut-il croire aux murs cyclopéens ? 
 287
On les retrouve au Pérou 
 287
L’opus reticulatum et le Muro Torto 
 288
Picoteries de la société du Nord 
 288
Compositeurs sans idées, Guglielmi, Zingarelli. etc. 
 289
Première représentation du Barbier de Séville 
 290
Le cant, ou hypocrisie de mœurs et de décence 
 292
À Rome, l’amant a peur du mari 
 292
Anecdote de l’Anglais et de l’armurier de la place d’Espagne 
 293
Les ouvriers romains sont si méchante^ qu’ils se vengent quand on les bat 
 295
Milan en 1829 
 294
La séduction après la rigueur 
 294
Un garçon meunier se réfugie à Sainte-Marie-Majeure 
 296
Un amant interrompt la noce de sa maîtresse 
 296
Parfaite immobilité des traits 
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