Aller au contenu

Page:Stendhal - Romans et Nouvelles, II, 1928, éd. Martineau.djvu/241

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
229
FÉDER


pour l’argent monnayé. Au retour de chez le nouveau pair chapelier, Boissaux ne dit mot de toute la soirée ; le lendemain il ordonna que tous les jours ses gens seraient en bas de soie à compter de quatre heures après midi, et il demanda à Féder de lui procurer trois nouveaux domestiques.