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Page:Stendhal - Rome, Naples et Florence, I, 1927, éd. Martineau.djvu/28

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DE L’ÉDITEUR

Oppeln-Bronikowski, en 1911, sous le titre de Reise in Italien, incomplètement d’ailleurs et avec force contre-sens.

Beyle avait écrit un livre en 1817, il l’avait refait en 1826, il entendait donc que désormais cette dernière édition serait définitive. On ne saurait penser autrement, et les tomes I et II de la présente édition suivent avec le plus de fidélité possible les deux volumes de 1826. Toutefois, comme l’auteur n’avait repris pour son travail définitif que 107 pages environ de sa première version, comment imaginer que les stendhaliens fervents ne s’inquiéteraient pas des 253 pages qui demeuraient inutilisées dans l’édition de 1817 ? Fallait-il les perdre ? Romain Colomb, exécuteur testamentaire aussi avisé que dévoué, fut le premier à ne pas le penser, et il les mit en appendice de son édition. M. D. Muller fit de même pour l’édition Champion. Je n’ai pas pensé pouvoir mieux faire, et le tome III de la mienne reproduit avec sa préface originale tout ce qui dans l’édition de 1817 n’a pas été repris par Stendhal pour celle de 1826. Des notes indiquent chaque fois qu’un passage est omis la place où il a été