Page:Stern - Mes souvenirs, 1880.djvu/183

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soir, je m’oubliais en prières à la chapelle, il ne se passait jamais un long temps sans qu’un frôlement de robe, un soupir, un murmure, ne vînt m’avertir d’une présence bien chère, d’une union intime et tout émue dans l’amour du divin Sauveur.