Page:Stevenson - La Flèche noire.djvu/65

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la grande route serpentant à travers la forêt. Le bateau avait été redressé ; — il était même à ce moment au-dessus du gué. À part cela, il n’y avait aucune trace d’homme ni même aucun mouvement que celui des branches sous le vent. Il allait descendre quand, jetant un dernier coup d’œil, il aperçut une ligne de points se mouvant à peu près au milieu des marais. Évidemment une petite troupe suivait la chaussée, et d’un bon pas ; cela lui donna à penser ; il descendit rapidement le long du tronc et rejoignit son camarade à travers le bois.