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Page:Stuart Merrill - Prose et vers (1925).pdf/88

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Fini, l’air de la danse lente !
Un violon seul le poursuit
Comme un enfant triste qui chante
Entre l’aube et la nuit.

Entr’ouvrez les hautes fenêtres ;
Je veux, par ces matins malsains,
Écouter les feuilles des hêtres
Choir sur l’eau des bassins.