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Page:Stuart Merrill - Prose et vers (1925).pdf/91

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Mais je serai dans des contrées
Très lointaines, traînant mon deuil,
Et tes pauvres larmes sacrées
Couleront en vain sur mon seuil.

Enfant, telle est faite la vie.
Tu vis de moi, je vis de toi.
L’amour t’a jusqu’ici suivie,
Que te dire ? Quitte mon toit.