Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/46

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s . Tire le drip tar lai : car il est mort. Jeune fille, Uiue faire k la pluie, la patiente plenreote, avx doigu légen de fotMjeor ani. EUe l’ensevelit.

Que *ot eipriu gardeoi le tileoce ! N’otez pa» néme peoier è le que c’est qu’un mon.

6. Hypérion, tu es tenn par une nuit obKure ; et nous saivoat tes funérailles, an bord de la mer qui pleure, par cette aurore grive d’une journée pluvieuse. O loi, qui vins chercher la couche humide de la nuit, et le lit maritime de l’aube la plus blême, — mon ^oilë, dont le divin visage est dé\ï le labour de l’ennemi sans nom, le pacage on vont paître les troupeaux du sépulcre, — Hypérion, n’as-tn plut rien i dire de ces douces lèvres, déjk d’un dessin si amer et si dur tous le «oile ? — La pluie tombe; et peu à peu te pousse k la mer infinie, mon Hypérion. .

7. Mort, gouffre profond, es to si accomplie qu’un seul mol, un seul adieu, pas même un cri ne pniste s’élever de tes foucs aoc- turoes ?

Voile, 6 jeune femme, voile ce beau visage, on la mort ■’• pas voulu graver, de son doigt taciturne, plus de lettres que celles de son nom. .

III

ADIEUX D'HYPÉRION

HYPERION KtrOND rA» tr« LAKIKJpl.

I. Lumière sur les sommets, lumière sar la cime, — Et là seulement, lumière! Lumière du trait lancé des profondeurs, du bloc de lave aoiic qui s’allume,