Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/57

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Que ce grtve tileoce, qui ne sVfnuIr m/mr plu», apiiur jii\M

Ici oragei de loo silence.

Va, pounuis U route iur la pUinc ri^idv, —

Entre le fleuve gelé et la forêt muette, tout iei livres du givre.

Cette nuit est le miroir lumineux d'une paix tris sereine. .

Connais aussi U paix profonde de la glace, —

El la sérénité sévère de la nuit neigeuse,

O pensée . .

��O pensée, goûte le calme de l'impassibilité, — Et découvre la pureté de la fin dans la solitude. . Vois : l'auguste tristesse a l'éclat blanc de la joie. Entre, et va plus outre, dans ton hiver, muet, — Achève ton chemin jusqu'au bout, sous l'étoile glaciale, dans ce rayonnant sépulcre. .

Vois, à voyageur : l'auguste tristesse resplendit. Et se Uit.

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