II
PAROLES DU VOYAGEUR
��I. Une heure (Tépouvanie tranquille et de »age elTroi : Sar le tiâne de la Ville, ili rigoeai, touvcrain», Roi et Reine.
O Dieu d^poss^dé, étouffe toutes plainte». Prendt loo parti de la douleur.
Souffre juMju'k ne plu» sentir la souffrance.
II. Vois tout ces mendiant. .
Que l'horreur domine en toi le dédain même.
Toi qui jamais ne la demandes, refuse toute aumône. fOl-ce l'aumâne du bonheur. .
Grandeur, grandeur bannie! emporte a*ec toi le Rojjume et l« Rigne! Ceins le cilice de la fierté, m*roe s'il te déchire. T* fieité est le droit souverain qui te reste.
Que seras tu. Titan, si tu n'et Oljmpien ?
Grandeur, grandeur, grandeur! La plus grande est la plu» cachée.
Cesse d'avoir pitié.
in. La terreur est muette : Le soit aossi la Puissance '
L'ime, qui se noie dans la peine, évoque de la tombe ou eue rêve, la profonde douleur. La tombe est ici.
Appelle, appelle sur la Ville, le silence absolu de la Nuit.
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