Et lou», comme ï U plu» chère de» mu*iqu'< >'« r>f*i»m l'oreille
A il» ne Mveot quoi, au chant du temp» irréparable, aux larsc* du cœur.
V. Que te» murmure» de la mer portent enfin jn»qu'au pied det terrasic» la galère du crèpu»cule, —
L'accord profond et doux de la violette et det Ijt chante dè)i pour elle, —
El U noire odeur de» bui» amers soutient ce» voli délIcientM, l'accent embaumé du soir.
VI. Au jardin suipendu de la lerratK la pin» hante, que b tenture des cjrprè» sépare de la vue, les anans souverains soupirent avec U mer. couple solitaire.
< — Je pleure parce que j'aime. Et ce que i'aime pleure an fond de mon coeur. .
— Les larmes sont la source d'amour, dit-il. .
— Laisse, dit-elle, laisse baigner mon Ime dans la fontaine..
— Pleurez, à vous tous, doux amans, et vous auui, pauion» cruelles, —
« Pleurez, amans, afin d'aimer l'amour plus que vous. .
— ô mon amant, je t'appelle met pleurs. .
— Je t'appelle ma mélancolie, ô mon amante :
< Les larmes sont la musique, qui chante : • Amour! Amour S dans tet ténèbre»;
• Les violes de la volupté s'accordent dan» les prainct de U tristesse . .
• Le soleil meurt, et verte tout son sang.. Dans b laii du monde, musique d'amour, murmures de b mer, à pkun!. . >
Vil. De terrasse en terrasse, jnsquet aux vagues, sonaeai toutes les cloches d'Y», et leur timbre chante : • Parce qa'ib aÙBcat, ib pleurent. •
Toutes les Icnatset t« dépeuplent ; b brise souffle : « Pleurez, vont qui aimez. . •
D'étages en élaget, lei aaaat eabcé» te coacbeat toat les
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