Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/82

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MYSTERE DOMPHALE

��Hiitcuu.

��le lire ?

��Je t'iime, et tu me fait ioaffrir.

Je ne suit pas aimé de toi, et ta te livret.

Je te possède, et je t'ignore. Je réte de loi détint toi.

O Omphale, qui es lu ?

Et t'il est un seul mot écrit dans ton coeur, quand pourrai |e

��OMrUAU.

��II. Seigneur, vous ne saurez jamais mes douleur» car vous ne les aimez pas.

Vous ne voulez de moi qu'une esclave perrerse. Si je ne l'avais été, vous m'eussiez faite cruelle. Car vous êtes vous-même, Et voue amour est plein de crainte.

III. Je tiens les jeux fermés ;

Et la lune oblique, i celle heure, dont le riyoB s« bris* wr le coffre d'ébéne comme un soupir de langueur,

Si j'ouvrais même les yeux, ne me permettrait pas de vous »o«t, dans l'ombre où vos bras m'enferment.

Mais j'ai vos regards dans met regards, comme vo» mii»» vur ma gorge.

El j'en distingue le mépris meoafant au fond de vous-a^ac.

IV. Omphale est toute à vous.

��— I 10 —

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