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Rodin, toujours vêtu d’une manière sordide, toujours sale et crasseux, écrivait modestement à son bureau, fidèle à son humble rôle de secrétaire, qui cachait, on l’a vu, une fonc-
quelles sortes de transactions ont eu lieu depuis cette époque entre les RR. PP. et le gouvernement, mais nous retrouvons, dans un article publié récemment par un journal sur l’organisation de la société de Jésus, l’hôtel de la rue des Postes comme faisant partie des immeubles de la congrégation.
Citons quelques fragments de cet article :
« Voici la liste des biens qu’on connaît à cette partie de la société de Jésus :
« La maison de la rue des Postes, qui vaut peut-être | fr. 500,000 |
Celle de la rue de Sèvres, estimée | 300,000 |
Une propriété à deux lieues de Paris | 150,000 |
Une maison et une église à Bourges | 100,000 |
Notre-Dame de Liesse, don fait en 1843 | 60,000 |
Saint-Acheul, maison du noviciat | 400,000 |
Nantes, une maison | 100,000 |
Quimper, une maison | 40,000 |
Laval, maison et église | 150,000 |
Rennes, maison | 20,000 |
Vannes, idem | 40,000 |
Metz, idem | 40,000 |
Strasbourg, idem | 60,000 |
Rouen, idem | 15,000 |
« On voit que ces diverses propriétés forment à peu de choses près deux millions.
« L’enseignement est, en outre, pour les jésuites une