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Page:Sue - Le Juif errant - Tomes 5-6.djvu/220

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Rose-Pompon et la face de Silène de Nini-Moulin.

Il s’ensuivait que Rodin, malgré son rempart de mouchoirs à tabac, n’avait été nullement garanti de l’examen indiscret et curieux des deux coryphées de la Tulipe orageuse.





XII


Une visite inattendue.


Rodin, quoiqu’il eût éprouvé une profonde surprise à la lecture de la seconde lettre de Rome, ne voulut pas que sa réponse témoignât de cet étonnement. Son frugal déjeuner terminé, il prit une feuille de papier et chiffra rapidement la note suivante, de ce ton rude et tranchant qui lui était habituel lorsqu’il n’était pas obligé de se contraindre :

« Ce que l’on m’apprend ne me surprend point… J’avais tout prévu… Indécision et lâ-