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Page:Sue - Les Mystères du peuple, tome 1.djvu/39

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— Entrez, — dit Georges.

On entra dans la pièce qui précédait celle où était couché le vieillard.

— Qui est là ? — demanda Georges.

— Moi… monsieur Lebrenn, — répondit une voix.

— Tiens !… ce digne marchand de toile… dont nous parlions… Ce vieux Gaulois ! — dit à demi-voix le bonhomme. — Va donc vite, mon enfant, et ferme la porte.

Georges, aussi troublé que surpris de cette visite inattendue, quitta la chambre de son grand-père, et se trouva bientôt en face de M. Lebrenn.